Ça y est, on y est. Le groupe aux innombrables hits a débarqué en France pour 4 dates dans trois villes différentes : Lyon, Paris et Lille. Imagine Dragons est de retour avec leur tournée “LOOM WORLD TOUR”. Nous étions présents au Groupama Stadium de Lyon le 3 juillet dernier et au Stade de France à Paris le 5. On vous raconte !
IMAGINE DRAGONS
Dès l’arrivée dans le Stade, la première chose que l’on remarque, outre la foule immense, c’est la scène. Des écrans géants qui surplombent les côtés et le devant, une avancée jusqu’au bout de la fosse or.. Tous les moyens ont été mis en place pour que le public, même à distance, puisse apprécier le show à sa juste valeur.
La musique d’attente s’atténue et les écrans s’allument. Sur fond d’un blanc immaculé, les trois membres principaux du groupe se sont littéralement élevés sur la scène depuis une plateforme située derrière les instruments. Une entrée spectaculaire qui promet un show grandiose. Spoiler : c’était le cas.
Dan Reynolds (chanteur) fait coucou à la foule, qui l’acclame à gorge déployée.




Puis Fire In These Hills démarre. Dès la première chanson, des jets de confettis et de fumée fusent sur la scène et dans la fosse.
Le groupe enchaîne avec Thunder, Bones, Take Me to the Beach et Shots. La foule est ultra réceptive, les écrans et le show lumières font ressortir les étoiles que tout le monde a dans les yeux. Le groupe continue avec I’m So Sorry et Whatever It Takes, pour ensuite s’installer au bout de l’avancée de scène.

Le chanteur sort un drapeau français et entame la chanson Next to Me en acoustique. A la fin de la chanson, Dan Reynolds explique la signification du prochain titre : Waves. Moment émouvant, car les paroles rendent hommage à son meilleur ami décédé il y a quelques années. Il nous avoue qu’il a beaucoup de mal à la chanter en concert. La foule se joint en chœur au refrain.
Ému, le chanteur déclare : « Je t’aime Paris ».



Lors d‘I Bet My Life, chanteur descend dans la zone qui se situe entre la scène et le public, pour aller saluer tou.te.s ses fans. Les écrans affichent Dan Reynolds radieux, comme si le public était sa seule source d’énergie.


Bad Liar s’enchaine, une ambiance plus tamisée et douce sur fond de paysage lunaire s’installe. Le chanteur interprète chaque mot avec émotion et précision, ses mains sur lesquelles figurent des croix noires s’accrochent au micro comme à une bouée de sauvetage. Des confettis verts virevoltent pendant Wake Up.







Radioactive, alias la chanson qui a confirmé leur rayonnement international, commence et le public se tient prêt à chanter l’ensemble des paroles comme si leurs vies en dépendait. L’ambiance du Stade de France est électrique. La chanson s’achève sur un impressionnant duo de batteries alliant Dan Reynolds (que ne sait-il pas faire ?) avec le batteur Andrew Tolman.
Quand vient la chanson Demons, des centaines de ballons violets sont brandis dans le ciel. Ce projet pensé par les fans fait référence à l’association Tyler Robinson Foundation qui a été fondée par le groupe dans le but de venir en aide aux familles dont les enfants luttent contre le cancer.
Les musiciens Ben McKee et Wayne Sermon ainsi que Dan Reynolds sont très souvent sur l’avant scène, on sent que le groupe est très proche de leurs fans.


Le chanteur énonce ensuite un discours qui a fait rougir une partie de l’assemblée : « Every beautiful women come from France. » (trad : toutes les belles femmes viennent de France ». Évidemment, il adapte cette phrase à chaque pays mais l’effet « owww » a bien fonctionné.
La seconde partie du discours était poignante. Le chanteur nous a fait part de son combat avec la dépression étant jeune. Il nous invite à en parler à quelqu’un, à partager sa douleur, à se montrer vulnérable.
Life is always worth living. – Dan Reynolds (trad : La vie vaut toujours la peine d’être vécue)
Suite à ces paroles bienveillantes, Walking the Wire commence et une salve de feux d’artifice et confettis jaillit dans le Stade.
Il reste cinq chansons, mais le public est toujours autant euphorique. Pour Sharks, Dan Reynolds récupère un magnifique bonnet requin, puis un serre-tête du même acabit.




Enemy a fait un carton, avec en plus un solo puissant de la part de Wayne Sermon. Pendant l’avant dernière chanson Birds, une pluie de feux d’artifice dorés s’est abattue sur scène, créant de majestueuses cascades d’étincelles.
Le show se termine sur Believer, autre hit interplanétaire qui ne possède pas moins de 3 milliards d’écoutes sur Spotify. Les dernières notes de la chanson sont magnifiées par le guitariste Ben McKee qui brandit sa guitare aux couleurs de la communauté LGBTQA+.
Un show qui se termine comme il a commencé : des feux d’artifice, des confettis à perte de vue et surtout : une foule en symbiose totale avec les artistes.










































































SETLIST :
- Fire n These Hills
- Thunder
- Bones
- Take Me to the Beach
- Shots
- I’m So Sorry
- Whatever It Takes
- Next to Me
- Waves
- I Bet My Life
- Bad Liar
- Wake Up
- Radioactive
- Demons
- Natural
- Walking the Wire
- Sharks
- Enemy
- In Your Corner
- Birds
- Believer
Ce live report vous a plu ? Ça tombe bien, on en a plein d’autres ici !




























