Tu t’es déjà demandé ce que ça donnerait si Alain Souchon posait sa guitare dans ton salon ? Eh bien, c’est presque ce qui se passe avec son nouvel album, « S’asseoir par terre », enregistré en mode unplugged au Studio Saint-Germain et qui sortira le 14 Novembre 2025. Et cette fois, il ne revient pas seul : ses fils, Pierre Souchon et Ours, sont de la partie. Une vraie réunion de famille musicale, comme si les dimanches en pyjama s’étaient transformés en sessions studio.
Ce disque, c’est un peu comme une caresse sonore. Pas de fioritures, juste des mots qui touchent, des mélodies qui flottent, et une complicité palpable. On y retrouve des classiques revisités, mais aussi des pépites inédites comme « Jaloux du soleil », née pendant le confinement. Une chanson qui évoque Monet, Paris, Marrakech… et cette lumière qu’on cherche tous quand le monde fait grise mine. C’est Pierre qui a balancé la mélodie, Alain qui a trouvé les mots, et Ours qui a mis son grain de sel. Résultat : un morceau solaire, doux comme un été sous masque.
Mais le vrai trésor, c’est cette ambiance « à la maison ». Enregistré en une après-midi, avec presque rien : quelques guitares, un piano, et beaucoup d’émotion. On est loin des grosses prods. Ici, c’est brut, sincère, comme une discussion entre potes autour d’un vieux vinyle. Et ça fait du bien. Souchon le dit lui-même : il n’est pas un caïd musical, mais il sait raconter des histoires. Et celles-ci, elles résonnent fort.
Alors, est-ce que « S’asseoir par terre » va te faire te lever d’émotion ? Probablement. Ce n’est pas juste un album, c’est un carnet de souvenirs, un pont entre les générations, une preuve que la musique, quand elle est faite en famille, a quelque chose de magique. Tu vas l’écouter, le réécouter, et peut-être même le fredonner sans t’en rendre compte.


























