Tu cherches une claque musicale pour bien démarrer 2026 ? Oublie les résolutions, et bloque direct ta soirée du 28 janvier : The Orchestral Qawwali Project débarque à Paris, pour une date unique à Pleyel. Oui, une seule. Et crois-moi, tu ne veux pas passer à côté de ça. Ce collectif mené par Rushil Ranjan et la magnétique Abi Sampa fusionne la puissance mystique du qawwali avec la grandeur de l’orchestre classique. Résultat ? Une expérience sonore qui te prend aux tripes et t’embarque loin, très loin.

Imagine-toi dans la fosse, les yeux fermés, la voix d’Abi Sampa qui s’élève comme une prière, vibrante et profonde. Autour, les tablas dialoguent avec les cordes, les harmonies classiques s’enlacent aux rythmes indiens. C’est pas juste un concert, c’est une transe. Le qawwali, cette musique soufie née au cœur du sous-continent indien, prend ici une dimension cinématographique. Rushil Ranjan, en chef d’orchestre inspiré, tisse des textures symphoniques qui font frissonner. Chaque morceau est une montée, une vague, une explosion d’émotions.

Et si tu veux te faire une idée avant de plonger dans le grand bain, jette un œil à la bande annonce du spectacle :

Ce genre de projet, tu le croises pas tous les jours. The Orchestral Qawwali Project, c’est la preuve que tradition et modernité peuvent danser ensemble sans jamais se marcher sur les pieds. C’est aussi une belle leçon d’ouverture : celle qui te rappelle que la musique, quand elle est sincère, traverse les frontières et les styles sans effort. Et franchement, dans une époque où tout va trop vite, prendre le temps d’écouter quelque chose d’aussi profond, ça fait du bien.

Alors voilà, si tu veux commencer ton année avec du sens, de la beauté, et un peu de magie, tu sais où aller. Le 28 janvier, à Pleyel, The Orchestral Qawwali Project t’attend. Et toi, t’es prêt à vibrer ?

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